ANNIE RAVEAU
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Échos de l’âme
Artiste peintre
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Le processus créatif d’Annie RAVEAU commence par un cheminement intérieur. Des sensations se forment et mûrissent en elle, jusqu’au moment où elle se sent prête à dessiner puis à peindre. Elle compare cela à une grossesse : on ne sait pas exactement ce qui se prépare, mais, au moment voulu, la certitude arrive.
Ce processus peut durer de quelques semaines à plusieurs années. Parfois, une lecture ou une pièce de musique classique lui apportent directement l’inspiration, provoquant des sensations qu’elle transforme en images.
Avant de peindre, elle crée un dessin, ce qui lui procure un grand soulagement, surtout lorsqu’il correspond à ce qu’elle ressent. Des éléments comme l’écriture, la musique, la spiritualité, la lecture, une parole ou une image l’inspirent souvent. Elle écoute principalement de la musique classique et grégorienne pendant la peinture, ce qui l’aide à se concentrer. Elle pense que les peintres ont besoin de musique pour se plonger dans leur travail.
Annie RAVEAU a aussi peint à partir de nouvelles, et ses œuvres ont inspiré des poètes, publiées dans l’Anthologie des poètes et la foi (éditions Grassin) et dans la revue Connaissance des hommes. Parfois, après avoir terminé une toile, elle se dit qu’elle aurait pu faire différemment.
Le hasard intervient rarement dans son travail, et elle ressent souvent un décalage entre la sensation initiale et le résultat final. Le temps lui fait penser qu’une même œuvre, traitée plus tard, serait différente.
ARTISTE PEINTRE Annie RAVEAU, UNE VISION DE L’ÂME
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L’artiste Annie RAVEAU a reçu plusieurs médailles et distinctions, soulignant l’importance et la reconnaissance de son travail dans le monde de l’art.L’artiste Annie RAVEAU décrit son processus comme des échos, une vision de l’âme. Des sensations mûrissent en elle jusqu’au moment où elle se sent prête à peindre. Lectures, musique classique et grégorienne l’inspirent souvent. Elle compare son travail à une grossesse, où l’idée émerge lentement. Le hasard intervient parfois, mais elle ressent souvent un décalage entre l’intention et le résultat final.
